Depuis le COVID-19, l'avènement des réseaux sociaux, des plateformes de communications unifiées et du télétravail, notre société est plus connectée que jamais. Mais cela implique aussi une
exposition accrue aux ondes électromagnétiques pour nous connecter aux différents réseaux.
Ces ondes sont-elles inoffensives ?
exposition accrue aux ondes électromagnétiques pour nous connecter aux différents réseaux.
Ces ondes sont-elles inoffensives ?
Toutes ces études tendent à démontrer que les ondes électromagnétiques ont bien un impact sur la santé de tout être vivant, si aucun effet ne sont à déplorer sur du court terme, dû certainement à notre taille en comparaison des animaux et insectes étudier, rien n’est plus sûr pour le long terme.
C’est pour cela que le gouvernement a mis en place des lois préventives quant à l’utilisation du WiFi (ou toute autre onde électromagnétique), comme la loi Abeille.
Outre le côté préventif, ce n’est que du bon sens
que de nous éloigner de tous risques inutiles.
En 2010, une étude indépendante menée par l’Université de Wageningen aux Pays-Bas démontre que 70% des arbres en milieux urbains souffrent de lésions sur leurs feuilles qui conduisent à leurs morts. En 2005, la proportion d’arbres touchée était de seulement 10%. Ce qui nous laisse songeur quant à la proportion atteinte en 2021. Etude |
Toujours en 2010, une étude publiée dans le journal Européen d’Oncologie par une Université Canadienne a montré que les ondes WiFi ont un impact sur le rythme cardiaque, des cas d’arythmie et de tacchycardie ont été enregistrés pour 40% des sujets de l’étude. Etude Qui sera suivi par une autre étude en 2015 par « Environmental Toxicology and Phramarcology » sur la variabilité cardiaque et la pression artérielle dû aux signaux WiFi. L’étude démontre que les ondes WiFi affectent le rythme cardiaque, la pression artérielle et l’efficacité des catécholamines sur le système cardiovasculaire de lapin. Etude |
Ce qui conduit l’OMS en 2011 a classé les ondes électromagnétiques comprenant les ondes radios, portables et WiFi dans la même catégorie que le plomb, la catégorie « 2B » c’est-à-dire :
possiblement cancérigènes pour l’homme.
Depuis, les études sur les effets des ondes électromagnétiques se sont multipliées.
possiblement cancérigènes pour l’homme.
Depuis, les études sur les effets des ondes électromagnétiques se sont multipliées.
En 2012, c’est "American Society for Reproductive Medecine" qui publie une étude démontrant une corrélation entre l’utilisation d’ordinateur portable connecté en WiFi, et la diminution de la mobilité des spermatozoïdes ainsi que l’augmentation de la fragmentation d’ADN. Etude |
En Janvier 2014, le Journal « Electromagnetic Biology and Medecine » publie un article mettant en avant le retard de croissance et de puberté sur des rats exposés aux ondes WiFI. Etude |
C’est en 2016 que l'ANSES publie une expertise soulignant l’impact aux radios fréquences plus important sur les enfants dû à leur spécificités morphologiques et anatomiques, notamment de leur petite taille, ainsi que leurs caractéristiques de certains de leurs tissus. Lien |
Et puis en 2020, une ONG allemande publie une méta-analyse incluant 190 études sur les champs électromagnétiques, et 60% d’entre elles démontrent un lien entre les réseaux WiFi et une modification importante chez les insectes, que ce soit dans leurs métabolismes ou dans leurs comportements, les études révèlent de grands bouleversements qui auraient un fort impact sur notre biodiversité. Lien de l'article en Français Lien de l'étude Allemande |
Et pour finir en Avril 2020, ce ne sont pas moins de 253 médecins et chercheurs de 44 nations différentes qui ont signé une pétition pour alerter l’OMS, l’UNEP (United Nations Environnement Programme) contre les effets néfastes des ondes électromagnétiques. Lien |